Clémence jeune cadre cherche à se créer un patrimoine via une SCPI : interview pour mieux comprendre
INVESTIR-EN-SCPI | 2 min. de lecture
Clémence, diplômée d'une grande école de commerce, travaille chez un industriel français, et a accepté de répondre à quelques questions concernant la concrétisation de son projet d'investissement en SCPI.
« Clémence, quelles sont les raisons qui vous ont poussé à opter pour un investissement en SCPI ? »
« Tout d'abord, je tiens à dire que j'ai trouvé beaucoup de renseignements sur des sites internet tel que le votre et qui m'ont permit d'obtenir toutes les informations indispensables à ma réflexion. Ensuite, après avoir échangé à ce sujet avec des amis, j'ai été convaincu de la pertinence de cet investissement. »
« Quelles ont été précisément les éléments qui vous ont convaincu ? »
« Premièrement, le principe en lui même (acquisition de part de société qui possède et gère un parc immobilier) et les différents avantages qu'il procure tels qu'une mutualisation du risque importante, aucune trésorerie à prévoir, aucune gestion (la SCPI s'occupe de toutes les démarches administratives), liquidité (capacité à retrouver son capital rapidement), flexibilité sur le montant de l 'acquisition et pour être honnête avec vous une rentabilité assez importante aux alentours de 5 %, chose qu'il m'aurait été impossible d'atteindre si j'avais décidé d'acquérir un studio à finalité locative.»
« Vous faites bien de le préciser car effectivement, à titre informatif il vous aurait fallu un rendement de 9% à 11 % (des frais viennent accabler les propriétaires régulièrement) sous le régime commun pour au final trouver une rentabilité équivalente à celle des SCPI. »
« Par ailleurs on évoquait ensemble votre volonté de vous construire un patrimoine à travers votre investissement, pouvez-vous nous en expliquer rapidement les grandes lignes ? »
« C'est assez simple. J'ai décidé de procéder par emprunt à mon projet d'acquisition pour bénéficier de l'effet de levier. Effectivement les ¾ de mes mensualités sont payés par les loyers que je perçois et pour optimiser mon investissement, j'ai bien l'intention de revendre mes parts au bout de 10 ans. Au delà de 10 ans de détention, mes intérêts d'emprunt vont diminuer entrainant donc une hausse de revenus perçus et donc de mon imposition. Au bout de 10 ans je compte encaisser la création de richesse et recommencer l'opération. »
« Avez vous peut-être un exemple chiffré à nous donner ? »
« Sur un montant de 170 000 euros qui me demande un effort d'épargne de 280 euros, j'ai un enrichissement personnel estimé de 131 000 et un taux de rendement interne de 7,9 %. »
Clémence, merci beaucoup pour votre témoignage.