A la recherche d’un placement attrayant
INVESTIR-EN-SCPI | 2 min. de lectureLes résultats des placements dans le contexte de la crise de croissance
Dans un contexte de crise de la croissance avec un taux sans risque proche de zéro et des comptes sur livrets à la rentabilité dérisoire les investisseurs cherchent des solutions alternatives afin de placer leur épargne. Cependant , l’Assurance Vie, placement star du début des années 2000, ce dernier étant élu placement préféré des français plusieurs années de suite, commence à faire face à la défiance des investisseurs.
D’une part de nombreux fonds euros sont descendus en dessous des 2% de rentabilité annuelle, et les perspectives d’avenir sont peu réjouissantes avec un taux annoncé la baisse dans les années futures, tant qu’il n’y aura pas de réelle reprise de la croissance.
D’autre part, la volatilité en bourse rend les investisseurs méfiants depuis le choc de 2008, ce qui se traduit par une hésitation à mettre trop de capital sur des Unités de Compte d’Assurance Vie.
La solution SCPI
Aujourd’hui, les français cherchent pour beaucoup à obtenir un rendement supérieur avec le minimum de risque associé. Les placements en SCPI (Société Civile de Placements Immobiliers) ont le vent en poupe dans ces conditions.
Certes, ils correspondent à des placements à plus long terme, mais ils répondent aux principaux objectifs recherchés : recherche de rentabilité et/ou complément de revenu.
La fiscalité moindre des SCPI « Allemandes » et « Européennes »
Les SCPI font disparaître le risque locatif et permettent de placer ses économies dans un placement clé en main i.e. sans gestion, ni besoin de trésorerie, les loyers versés étant net de charge. Cependant les dividendes versés étant associés à des loyers, la taxation appliquée est celle du Bénéfice Foncier, bien connue des propriétaires de biens locatifs.
Mais les SCPI qui investissent hors de France (bien que la société de gestion soit française et soumis à la réglementation de notre pays) vont avoir un avantage fiscal conséquent.
En effet, au lieu d’être soumis à la Tranche Marginale d’Impôt (TMI) et aux Prélèvements Sociaux, les loyers versés sur des actifs immobiliers en Europe ne vont pas être soumis à ces derniers. De plus, la société de gestion verse un loyer net de fiscalité du pays d’origine, et dans ce contexte, la taxation appliquée n’est plus la TMI est un impôt réduit, calculé sur la base d’un taux effectif dépendant de la convention fiscale entre la France et le pays dans lequel l’actif immobilier se situe.